Aux cimes de l'humanité |
Page 3 sur 6 Dans les secrets de la nature…
Patrick Flanagan pensait avoir résolu toutes les interrogations posées par de l'eau des Hunzas lorsqu’un jour, en relisant Albert Szent-Gyorgyi (découvreur de la vitamine C et Prix Nobel de chimie), son attention fut mise en alerte par une nouvelle idée : "L'hydrogène est le carburant de la vie" :
"Ceci est réellement la chimie de la Vie. "Albert Szent-Gyorgyi a aussi précisé, ses expériences à l’appui, que les électrons ne sont jamais transportés dans un système vivant autrement qu'associés à de l'hydrogène. Nous découvrons dans nos livres d’université une multitude d’équations biochimiques qui nous montrent des kyrielles de molécules. Parmi elles, l'hydrogène entre sous sa forme de proton isolé, sans électron (H+) et participe aux réactions. Et puis il y a tous ces électrons qui apparaissent, sans que personne ne nous dise d'où ils viennent. Simplement, on voit des électrons participer aux réactions. Quand les électrons s’unissent à l'hydrogène, on obtient une réaction concernant l'énergie du corps, le cycle de Krebs ou de l'énergie. "Je compris que, si Albert Szent-Gyorgyi avait raison, les électrons n'étaient pas transportés dans un système biologique sans être associés à l'hydrogène. Dès lors une seule forme d'hydrogène pouvait participer à ces réactions chimiques et y amener des électrons ; il s'agissait d'une forme d'hydrogène inconnue à Albert Szent-Gyôrgyi, car découverte juste avant sa mort ; cette forme d'hydrogène s'appelle l’ion hydrure H¯ ; elle est composée d’un atome ordinaire d'hydrogène avec un électron supplémentaire. L'hydrogène ordinaire, comme indiqué sur le tableau des éléments, possède un proton et un électron. Comme l'unique électron de l'hydrogène ordinaire est très fortement lié au proton, il n'est pas disponible dans un système vivant contrairement aux ions hydrures dont le deuxième électron peut facilement être arraché à l’atome d’hydrogène : cet électron est biologiquement actif ! "Si ce que disait Szent-Gyorgyi était vrai, alors on devrait pouvoir mesurer ces ions H¯ dans tous les liquides corporels. J’ai donc développé une électrode spéciale pour mesurer les ions H¯. J'ai pris du plasma sanguin humain, de la salive et de l'urine. J'ai testé ces substances et trouvé une grande quantité de ces ions H¯, ions hydrures, dans le système vivant. J’ai ensuite testé des jus frais, du jus d'orange, du jus de carotte, de pomme, puis d’autres nourritures. C’est là que j’ai découvert que toute nourriture crue – poisson, viande rouge, blanche, bref, tout ce qui vous passer à la tête –, ils ont tous dans leur jus des quantités de ces ions H¯. Dès l'instant où la nourriture est cuite, transformée ou séchée, ces ions disparaissent, ils n'existent plus. À cause de la présence de ces ions, du fait aussi que tant de personnes ont vécu de nettes améliorations dans leur état santé à l’issue de cures de jus frais et crus, j'ai pu comprendre, grâce à mes mesures, que c'était une clé inhérente à la vie elle-même, ainsi que le disait aussi Szent-Gyorgyi. "J'ai alors commencé à imaginer un moyen de traiter l'eau avec des ions H¯, de façon à pouvoir la boire et absorber ces ions. J'ai mis au point un process mais l'eau, avec ses ions H¯, n’était pas stable. Maintenant, voici ce qui a été le suprême événement : pour autant que je sache, c'est la découverte ultime au sujet de l'eau Hunza. J'ai repris une ampoule d'eau Hunza, vieille de quarante ans, qui avait été scellée à la flamme de façon à ce qu'elle soit totalement étanche. J'ai découvert que cette eau était chargée d'ions H¯ en plus des minéraux. C'est le genre d'expériences qui font dire Eureka ! C'était comme de découvrir un secret de la nature, le secret de la vie elle-même en ce qui me concerne. "Le problème est que si j'étais capable de faire de l'eau H¯, cette eau ne restait stable que quelques jours, et ensuite c'était fini. Je me demandais comment l'eau Hunza pouvait être stable après quarante ans et contenir tous ses minéraux et ions H¯. C’est là une nouvelle évidence m’est apparue : cela avait quelque chose à voir avec ces minéraux dans l'eau Hunza." Patrick Flanagan a ultérieurement découvert le moyen d'imprégner ces ions hydrogène H¯ dans du magnésium, de façon à assurer la stabilité de la matière aussi longtemps qu’elle reste sèche. Ce procédé est aujourd’hui commercialisé sous le nom d’Active-H. "Nous sommes capables de concentrer tellement d'ions H¯, qu'une seule gélule contient autant d'électrons que 10 000 verres de jus d'orange biologique frais, ce qui est vraiment formidable. De plus, tous ces antioxydants neutralisent les radicaux libres. Les radicaux libres détruisent la structure de l'ADN et d'autres structures dans le corps, on les considère à ce titre comme la cause principale du vieillissement. Le monde entier cherche le moyen de diminuer les dommages qu’ils causent dans le corps, parce que, théoriquement, cela pourrait rallonger la durée de vie. La plupart des scientifiques s'accordent à dire que si nous pouvions contrer les dégâts causés par les radicaux libres dans le corps, et maintenir un bon état santé, nous pourrions vivre jusqu'à 125 ans." Patrick Flanagan participait en octobre dernier à un congrès à Majorque. Il estime qu’Active H et Crystal Energy permettront peut-être à l’humanité de survivre… |