Aux cimes de l'humanité |
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Quel avenir pour les Hunzas ?
L’été 2007 a été l’occasion pour moi d’explorer la vallée des Hunzas avec une petite dizaine de personnes, de rencontrer cette population (si enviée) et de faire des prélèvements pour établir un état de l’eau actuel de Karimabad et de la vallée. Pour ce faire, je m’étais muni de deux appareils de marque Hanna, l’un permettant de mesurer le rH2 et qui apporterait ainsi une information sur la quantité d’électrons présents l’eau (aspect oxydé ou réducteur) et l’autre la conductivité qui permettrait d’évaluer indirectement la charge minérale en suspension. Des mesures de tension superficielle nécessitant un appareil plus volumineux ont été faites à mon retour en France. Nous étions accompagnés d’un guide originaire d’un petit village situé à une vingtaine de kilomètres de Karimabad et parlant très bien français, ce qui nous a facilité les contacts. Grâce à son entremise, nous avons pu rencontrer le doyen de Karimabad, âgé de 98 ans. Mais cette performance fait aujourd’hui figure d’exception : la population hunza ne se distingue plus du reste de la région par une longévité exceptionnelle. Qu’est-ce à dire ? Que reste-t-il aujourd’hui dans l’eau des Hunzas ? Les appareils de marque Hanna sont réputés pour leur fiabilité. Leur réétalonnage a été effectué sur place avec des solutions tampons que j’avais avec moi. J’ai donc effectué deux prélèvements et mesures, directement sur place. La première a été faite à la source de l’Ultar, au camp de base situé au-dessous du glacier qui alimente en eau le village de Karimabad et ses environs. Cette eau d’apparence claire et limpide avait une température de 1,4°C, un rH2 de 31 (donc légèrement oxydée) et une conductivité de 0,47 mS (milli-siemens). C’est la conductivité d’une eau contenant 240 mg/l (milligramme par litre) de minéraux. L’autre mesure a été faite un peu plus bas, sous le glacier, dans un des canaux transportant l’eau jusqu’au village. L’eau d’un aspect très grisâtre avait une température de 9 °C, un rH2 de 30,5 et une conductivité de 0,02 mS, soit la conductivité d’une eau ne contenant que 10 mg/l de minéraux ! Rien à voir avec le rH2 de 21 – qui est celui d’une eau très riche en électrons donc très réductrice, mesuré par Patrick Flanagan dans l’échantillon d’eau que lui avait remis le professeur Coandă. Il reste cependant très surprenant de mesurer une conductivité aussi basse avec une eau aussi chargée en minéraux ! Les mesures de tension superficielle, effectuées à mon retour, allaient aussi beaucoup me surprendre. Il faut savoir qu’une valeur normale de tension superficielle s’établit autour de 70 mN/m (milli-newton par mètre, anciennement dyne). Celle du glacier Ultar est aujourd’hui d’environ 70 mN/m contre 43 mN/m pour celle rapportée par le professeur Coandă. Lorsqu’on ajoute Crystal Energy à une eau de consommation, on obtient facilement des valeurs entre 38 et 45 après avoir bien mélangé les minéraux, simplement en secouant énergiquement la bouteille. À l’état de repos, après quelques minutes, la tension remonte à environ 55. Il est donc intéressant de dynamiser l’eau dans sa bouteille avant de la boire ! [Si vous faites cette dynamisation avec une eau sans les Microclusters, vous n’observerez aucune diminution de tension superficielle notable.] La faible tension superficielle rend le liquide plus hydratant, celui-ci peut franchir la barrière grasse des cellules, évacuer les déchets en profondeur et aussi rendre plus disponible les nutriments mis en suspension, facilitant ainsi leur assimilation. Patrick Flanagan a démontré que l’on peut ainsi tripler l’assimilation de la vitamine C. Lorsque j’ai demandé à Patrick Flanagan les raisons de ce changement des propriétés de l’eau des Hunzas depuis un siècle, il a immédiatement évoqué la pollution "mondialisée" dans l’atmosphère !
À mon avis, il est aussi possible au sujet de la tension superficielle,
que les minéraux présents à l’époque, provenant de certaines couches
minérales du glacier, aient aujourd’hui disparu du fait de l’érosion…
Patrick Flanagan a longuement cherché d’autres glaciers présentant les
mêmes caractéristiques minérales, mais sans succès. Ce document n’est que le témoignage d’une recherche personnelle qui s’est transformée en véritable passion pour l’eau et ses propriétés … et l’univers quantique qui nous anime ! |